Nous vivons une actualité baignée dans une période anxiogène, de questions sans réponses sur les conflits armés, de crise économique, de tensions sociales, de dérèglement climatique et de radicalisation des propos politiques.
Le chronos journalistique et l’ethos de la symbolique des évènements (F Encel) nous éloignent de l’essentiel et de la prise de conscience que nous sommes sans doute rentrés dans une époque que l’on pourrait qualifier d’irréversible.

Comment s’inscrit la gouvernance dans cette notion d’irréversible ?

Pauline Pons a eu à plusieurs reprises pour PRODIGE l’occasion de démontrer que l’art permettait de répondre à l’essentiel des questions que nous nous posons.

Selon elle : L’art est un amplificateur de vision. Le chef d’entreprise est un chef d’œuvre au sens étymologique du terme. Il doit décrire ce qui se présente à lui et trouver les moyens de naviguer dans l’inconnu…et enfin mettre des règles là où il n’y en pas encore !

VENEZ DONC le 14 novembre prochain nous rejoindre pour partager une vision élargie et éclairée sur le lien entre l’art et la gouvernance.